Depuis le début de l’assaut génocidaire d’Israël contre Gaza, les responsables sionistes, leurs homologues occidentaux, les experts et les journalistes n’ont cessé d’invoquer le sinistre spectre du « terrorisme » pour justifier le massacre à grande échelle des Palestiniens. C’est à cause du « terror...
Lorsque les extrémistes juifs, les sionistes fanatiques, les fanatiques religieux, les ultranationalistes et les crypto-fascistes de l’État d’apartheid d’Israël disent qu’ils veulent effacer Gaza de la surface de la Terre, il faut les croire.
Tous les projets coloniaux, y compris Israël, atteignent un point où ils adoptent le massacre et le génocide pour éradiquer une population indigène qui refuse de capituler.
Après qu’un soldat de réserve israélien nommé David Ben Zion a déclaré à un journaliste que des militants palestiniens « coupaient les têtes des bébés », Biden, Netanyahou et les médias internationaux ont amplifié cette affirmation douteuse.
The Grayzone a identifié Ben Zion comme étant un leader de colons fanatiques qui a provoqué des émeutes en demandant que tout un village palestinien soit « exterminé1 ».
Dans toute l’Europe, le populisme d’extrême droite est en plein essor. Des partis de droite aux racines néofascistes font partie de coalitions gouvernementales ou augmentent leur nombre de sièges parlementaires. Pourtant, les craintes d’une montée de l’antisémitisme en Europe n’ont pas empêché Israël de s’engager auprès des extrémistes européens — une politique de l’État avant même sa création.
En qualifiant de « héros » un volontaire de la Waffen-SS, le Parti libéral du Canada a mis en lumière une politique de longue date qui a vu Ottawa former des militants fascistes en Ukraine tout en accueillant des milliers d’anciens combattants nazis de la SS d’après-guerre.
Chrystia Freeland, la deuxième personnalité la plus puissante du Canada, est la petite-fille de l’un des principaux propagandistes ukrainiens de l’Allemagne nazie.
Max Blumenthal, de The Grayzone, s’est adressé au Conseil de sécurité de l’ONU pour évoquer, d’une part, le rôle de l’aide militaire des États-Unis à l’Ukraine dans l’escalade du conflit avec la Russie et, d’autre part, les véritables motifs qui sous-tendent le soutien de Washington à la guerre par procuration menée par Kiev.
Des dossiers britanniques récemment déclassifiés jettent une lumière troublante sur les origines et le fonctionnement interne de l’opération Gladio, un complot de l’OTAN déployant des milices terroristes fascistes à travers l’Italie. Les espions de Londres ont-ils appliqué leur expérience à l’Ukraine ?
L’arrestation de deux néonazis français lourdement armés revenant d’Ukraine met en lumière un problème imminent pour les pays de l’OTAN qui soutiennent la guerre par procuration ; elle met également en évidence la conspiration du silence de ces États sur la nature de la menace.
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